Auguri da diritticomparati

Buona Pasqua dalla redazione di diritticomparati.it.
Le pubblicazioni riprenderanno regolarmente dal 2 aprile.


La nuova legge sulla partecipazione alla formazione e l'attuazione del diritto europeo

E' stata pubblicata sulla Gazzetta Ufficiale la legge n. 234 del 24 dicembre 2012, che detta le norme generali sui processi di formazione e attuazione del diritto europeo da parte dello Stato e delle Regioni, abrogando integralmente la previgente legge n. 11 del 2005. Qui di seguito il link alla legge.

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La condanna dell'Italia per il sovraffollamento delle carceri

Di seguito il link da cui scaricare la sentenza pilota Torreggiani ed altri c. Italia, con cui la Corte europea dei diritti dell'uomo ha condannato l'Italia per la condizione di sovraffollamento delle carceri.

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Auguri da diritticomparati

Buon Natale e Buon anno dalla redazione di diritticomparati.it.
Le pubblicazioni riprendono il 7 gennaio.

 


Il diritto alla vita nella giurisprudenza delle Alte Corti

 

Ufficio Referenti per la
Formazione Decentrata del
Distretto di Torino
Diritto Europeo 

La giurisprudenza delle Corti europee
e interpretazione del giudice nazionale:
dalla procreazione assistita
all’interruzione delle cure

Torino, 25 ottobre
2012

 

INDICE 

1.Diversità e pluralità  di approcci al tema.
2.Il diritto alla vita nella CEDU.
3. L’intreccio fra diritto alla
vita-art.2 CEDU- e autodeterminazione-art.8 CEDU-.
4.Dalla dottrina del consenso nella
giurisprudenza della Corte dei diritti umani a proposito di vita, morte
e…dintorni…
5.
Corte dir. uomo, 1 aprile 2010,  S. e H. c. Austria e Corte dir. Uomo,
Grande Camera, 3 novembre 2011, S.e H. c.
Austria
.
6. A che serve la dottrina del
consenso?
7. Il ruolo del giudice nelle vicende
che ruotano attorno alla “vita”. Sfida
fra legislatore e giudici o coordinata cooperazione?La concordia fra le Corti sul caso Englaro.
8. La giurisprudenza CEDU come fonte
del diritto.
9.A mo’ di conclusione. 

 

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Y a-t-il trop de droits fondamentaux ?

Y a-t-il trop de droits fondamentaux ?

Rentrée solennelle de la Faculté de droit de Montpellier, Montpellier, le 18 septembre 2012, Conférence prononcée par Jean-Marc Sauvé[1],
vice-président du Conseil d’Etat

Madame le doyen, Monsieur le recteur, Messieurs les présidents des Universités de Montpellier I et II, Mesdames et Messieurs les membres du Parlement et les
représentants des autorités civiles, judiciaires et militaires, Mesdames et Messieurs les professeurs, Mesdames et Messieurs,

Permettez-moi avant tout, Madame le Doyen, de vous remercier d’avoir bien voulu me convier à la rentrée solennelle de votre faculté et des
propos bienveillants que vous avez tenus à mon endroit. En votre personne, je félicite la Faculté de droit de Montpellier pour ses nombreux succès et pour
ses initiatives qui poursuivent la grande tradition juridique de cette ville et l’inscrivent résolument dans l’avenir. Permettez-moi également de remercier
plus particulièrement le professeur Frédéric Sudre, à l’initiative de cette invitation. Le sujet de la conférence ayant été laissé à ma discrétion, j’ai
choisi de le formuler sous forme de question – ce qu’en général les étudiants préfèrent, car cela évite, comme vous le savez, de concevoir soi-même une
problématique.

Y a-t-il trop de droits fondamentaux ?

Cette question, qui recèle déjà en soi plus d’une once de provocation, tient dans les murs de cette faculté de la bravade. D’abord, parce
que je prends ainsi le risque d’une joute, verbale bien entendu, avec les enseignants-chercheurs spécialistes de ce domaine et l’on sait qu’ils sont
nombreux au sein de cette faculté. Ensuite parce que, d’un point de vue historique, la ville de Montpellier manifeste un attachement particulier aux
droits et libertés. La Grande Charte de la ville, présentée en 1204 à la suite du mariage entre Marie de Montpellier et Pierre II d’Aragon, a ainsi posé
« les coutumes et libertés de la ville de Montpellier ». Ce texte, que je dois avouer n’avoir découvert qu’en préparant cette conférence, est,
sous certains aspects, étonnamment moderne. Je ne parle  pas ici de la disposition selon laquelle les personnes prises en flagrant délit d’adultère
« sont condamnées à courir nues par la ville, avec leur complice, la femme devant, et à être fouettées ». Ce mode de punition de l’adultère, qui
existait au Moyen-âge dans beaucoup de localités, donne au texte une couleur sans doute pittoresque, mais n’apporte rien aux droits et aux libertés. En
revanche, on y trouve, dès 1204 donc, des dispositions relatives à ce que l’on nommerait aujourd’hui la liberté individuelle, la liberté du commerce et de
l’industrie ou encore le droit du procès équitable[2]. C’est ainsi avec une extrême précaution que je consens à traiter, ici plus
qu’ailleurs, du sujet des droits fondamentaux qui, de surcroît, n’ont souvent été acquis, génération après génération, qu’au prix de hautes luttes.

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Pausa estiva

Da oggi e per tutto il mese di agosto diritticomparati sospende le pubblicazioni. L'attività riprenderà i primi di settembre.

Buone vacanze!


Il Syllabus della sentenza della Corte Suprema sulla riforma sanitaria di Obama

Syllabus

NATIONAL FEDERATION OF INDEPENDENT BUSINESS et al. v. SEBELIUS, SECRETARY OF HEALTH AND HUMAN SERVICES, et al.

certiorari to the united states court of appeals for the eleventh circuit

No. 11–393. Argued March 26, 27, 28, 2012—Decided June 28, 2012 1

In 2010, Congress enacted the Patient Protection and Affordable Care Act in order to increase the number of Americans covered by health insurance and decrease the cost of health care. One key provision is the individual mandate, which requires most Americans to maintain “minimum essential” health insurance coverage. 26 U. S. C. §5000A. For individuals who are not exempt, and who do not receive health insurance through an employer or government program, the means of satisfying the requirement is to purchase insurance from a private company.
Beginning in 2014, those who do not comply with the mandate must make a “[s]hared responsibility payment” to the Federal Government. §5000A(b)(1). The Act provides that this “penalty” will be paid to the Internal Revenue Service with an individual’s taxes, and “shall be assessed and collected in the same manner” as tax penalties. §§5000A(c), (g)(1).

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Recensione su European Law Review, a cura di Leonardo Pierdominici, dell'ultima monografia di Oreste Pollicino

This ambitious book, written by one of the youngest Italian scholars in the field of European constitutionallaw, comes as the result of a well-known series of studies on “The National Judicial Treatment of theECHR and EU Laws” co-edited by him, previously compiled into a collective volume (G. Martinico andO. Pollicino (eds), The National Judicial Treatment of the ECHR and EU Laws: A ConstitutionalComparative Perspective, 2010)...

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European Commission makes fundamental rights a reality for citizens

The EU Charter of Fundamental Rights – now in force and legally binding for more than two years – has guided EU law-making from the very first draft all the way through to the statute book. The Charter sets out fundamental rights – such as freedom of expression and the protection of personal data – that reflect Europe’s common values and its constitutional heritage. The European Commission’s second annual report on the Charter finds that fundamental rights concerns are increasingly embedded in EU policy-making. For example, travellers will be entitled to opt out of security scanning at EU airports and be screened using other methods thanks to Commission action to take on board privacy concerns in a new EU law. The EU Court of Justice increasingly refers to the Charter, notably in landmark decisions on sex discrimination and Internet privacy. Today’s report is part of the Commission’s efforts to raise people’s awareness of the Charter, when it applies, and the role of EU institutions in the field of fundamental rights.

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